D-Q898204

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== Transcript == Q902168

A propos de AK «faire»[1] (I)
par Pascal Attinger — Berne

1. Introduction

Il est bien connu qu’à côté de du11-g/e/di-d «dire», ak «faire» est le verbe le plus productif de la langue sumérienne, et il n’est en conséquence pas étonnant qu’un quart du PSD A/III (1998) lui soit consacré (pp. 70–131). Il va sans dire que ces pages rendront d’inestimables services tant pour le travail quotidien que comme base d’une recherche systématique sur ak, elles sont toutefois entachées de deux défauts qui en rendent l’utilisation malaisée:
– La liste des «idiomatic phrases» (pp. 76–109 s.v. ak 8) est très incomplète, et ceci pour une double raison: D’une part, quelque 80 ex-

  1. «Review article» de The Sumerian Dictionary of the University of Pennsylvania Museum. Vol. 1: A Part III. Ed. by Åke W. Sjöberg with the collaboration of Hermann Behrens, Antoine Cavigneaux, Barry L. Eichler, Margaret W. Green, Philip Jones, Erle Leichty, Darlene Loding, Steve Tinney, Niek Veldhuis, Wu Yuhong. Philadelphia: Babylonian Section of the University Museum, 1998. ISBN: 0-924171-58-8. xlv + 217.
    Je me dois de remercier en premier lieu W. Sallaberger, qui a lu une version antérieure de cet article et dont les avis autorisés m’ont été un inestimable appui lors de la rédaction souvent douloureuse de cet article. J’ai eu accès aux textes sur disquettes de B. Jagersma (époque présargonique) et de R. de Maaijer (époques d’Ur III et d’Isin). Que leurs auteurs trouvent ici l’expression de ma reconnaissance. Ma gratitude va également à ceux qui mirent à ma disposition une copie de leur partition d’une ou de plusieurs compositions littéraires pB: B. Alster (Instr. Sˇur.), M. Civil (U-ezinan), P. Delnero (EJN, Kisˇ Hy. et SˇA) et C. Wilcke (Lugalb. I et II).